Je laisse le passé de Mel assez libre. Voila seulement quelques points importants à respecter : ▷ Il s’appelle Messalla Blight Cardew, surnommé Mel par Atala. Le prénom est très difficilement négociable, j'y tien beaucoup. Le reste est modifiable temps que cela reste original. ▷ Il a entre 24 et 28 ans, à vous de voir. ▷ Il a une sœur cadette, Posy, à qui il tient beaucoup (scénario ici) ▷ Il est née et à toujours vécut dans le district quatre. Il est par conséquent excellent pêcheur, sait manier un trident et très bien nager. Il peut aussi avoir d'autre capacité, je laisse au choix. ▷ C'est un rebelle, tout comme son père. Il l'a toujours eu dans le sang et ce depuis son plus jeune âge. Il a été à la tête des rebelles du quatre jusqu'à son arrestation, il y un peu moins d'un an. Espionné par le Capitole depuis quelque temps, il a été enlevé, jeté en prison et torturé. Il vient tout juste d'être sauvé par le treize, complétement amnésique. ▷ Après son départ c'est Atala, sa fiancée, qui pris sa place de chef des rebelles et sa sœur Posy devint son bras droit. Quand le district treize se révéla, Atala partit sur place alors que Posy resta au quatre pour coordonner les opération. ▷ La caractère est relativement libre, mais voici quelque traits à respecter. Mel est homme courageux, fidèle, impulsif, possessif, colérique et sociable. C'est quelqu'un avec un très fort caractère.
Libre Réservé Prise
between you and me
Messalla rencontra Atala alors qu'elle n'avait que dix-huit ans. Ils ne tombèrent pas amoureux tout de suite, même si dès le début, il semblait évident qu'ils étaient fait l'un pour l'autre. Mais ce fut petit à petit que se construisit leur relation ; d'abord meilleurs amis, puis confidents, ils s'embrassèrent pour la première fois un an après leur rencontre. Ce baiser leur semblait comme une évidence, comme suite logique à leur relation. Depuis ce jour ils devinrent inséparable. Toujours main dans la main, les gens parlaient d'eux comme un tout. Très vite, il l'enrôla dans les rebelles à ses côtés. Atala se révéla être une très bonne oratrice, portant à merveille le rôle de leader aux côté de Messalla. Elle se découvrit aussi un don pour le lancer de couteau, chose que lui appris Mel, bien qu'elle dépassa ce dernier très vite. Les deux rebelles se complétaient, et géraient leurs rébellion avec brio. Messalla proposa alors Atala en mariage, trois mois avant de se faire enlever. Après son arrestation, Atala repris la rébellion en main, bien décidée à finir ce qu'ils avaient commencé ensemble pour assouvir sa vengeance. Puis, sept mois plus tard, elle rejoins le district treize. C'est il y une semaine que Coin à décidé de faire une descente dans la prison du quatre, libérant par la même occasion Mel qui s'avéra complètement amnésique.
Leur nouvelle relation reste à développer, mais je pense pas que Mel retrouvera la mémoire (sauf si vous y tenez vraiment). Messalla retombera surement peu à peu amoureux de Atala, qui elle, avec beaucoup de difficultée, apprendra à apprécier son nouveau fiancé.
Spoiler:
Extrait de ma fiche : Normalement, plus personne ne travaillait à cette heure-ci, sauf les personnes de garde. Mais pourtant, les gens se bousculaient dans les couloirs étroits, courant presque. Bien que je ne soit pas au courant de toutes les opérations, le district quatre possédait un grand nombre d'hommes, et toute demande de soldat devait forcément me parvenir. Pourtant, je reconnu quelques uns de mes hommes. Je pressait le pas jusqu'à la salle de réunion. Alors que je passai la porte, je me figeai. « Lily ? » Malgré la faiblesse de la voix, j'étais sure de savoir de qui il s'agissait. Peu de personne connaissait mon premier prénom, mais une seule me surnommait comme ça. Mel. Je me retournai, découvrant un jeune homme couvert de bleue, de sueur et cendres, terriblement amaigrit, tomber dans les bras des deux soldats à ses côtés. Même s'il était méconnaissable, c'était bien mon fiancé. Je me jetai sur lui, hystérique, prenant son visage dans mes mains. « Mel ! MEL ! Reste avec moi ! Mel, s'il te plaît ! » Je le secouait, l'embrassait, criait son nom. Quand les médecins arrivaient pour l'emmener, je refusai de le lâcher. Plus jamais, pensai-je, plus jamais je ne les laisseraient l'emmener loin de moi. Je hurlai à présent, griffant, mordant et frappant quiconque essayait de me faire lâcher prise. Les larmes coulaient abondamment sur mon visage, des larmes de joie, de colère, de peur. Soudain, je sentit une seringue se planter dans mon bras. Je n'avais pas eu le temps de l'esquiver, et me sentis partir petit à petit. Pourtant, je ne desserrai pas mes mains, qui emprisonnaient celle de Messalla. On m'attrapa, puis me jeta sur une épaule et je fus contrainte de le lâcher. Avant de m'endormir, je murmurai une dernière fois son nom, même si aucun son de sortit de ma bouche.
Cela faisait une semaine que Messalla est revenu. Une semaine à faire des essaies, tous aussi peu concluant les uns que les autres. Mel est revenu, certes. Mais complètement amnésique. Je serrai les mains autour du plateau que je portai, choisissant une table déserte, même si ce n'était celle qui m'était attribué. Mais c'était le dernier de mes soucis, je voulais seulement être seule. Quand Messalla s'est réveillé pour la première fois à l’hôpital, il s'avéra qu'il se rappelai tout juste comment tenir une cuillère. Les médecins ne connaissent pas encore la cause exact de cette amnésie, mais découvre chaque jour des marques nouvelles d'une torture différente. Après une visite, il s'avéra qu'il ne se rappelai pas de moi non plus. Certain disent qu'il retrouvera la mémoire, les plus pessimistes affirment qu'il lui faudra tout réapprendre. J'ai découvert que c'est Coin elle même qui à décider de l'opération. Elle a choisit de ne pas me prévenir de la descente de la prison du quatre, car j'aurai été trop impliquée dans l'affaire. Si elle n'était pas si protégée, je l'aurait déjà tuer. Elle n'avait aucun droit de me laisser à l'écart, et encore moins d’enrôler mes hommes sans ma permission. Depuis son retour, j'ai passé les trois quart du temps à l’hôpital, où il m'administrait des calmants chaque fois que je me piquais une crise. Ce qui équivaut à chacun de mes réveils. Puis on m'a fais sortir, avec un emploie du temps de la malade, dont je ne tient absolument pas compte. Je me noie comme à mon habitude dans le travail, si ce n'est plus. Comme je ne dors plus, autant faire quelque chose d'utile pendant ces insomnies.