andromache cerès hawthorne

❝ bang bang, my baby shot me down ❞

❝ id card ❞

NOM ▷ andromache "andy" cerès renata hawthorne ; noms que lui ont donné ses parents adoptifs lorsqu'ils l'ont recueillis ÂGE ▷ vingt-quatre ans SURNOM ▷ andy la plupart du temps, mais aussi mack ou la chieuse DATE ET LIEU DE NAISSANCE ▷ 25 décembre 1988 - ville inconnu en ukraine STATUT CIVIL ▷ compliqué GROUPE ▷ law enforcement MÉTIER/RANG ▷ nouvelle recrue de la nsa TRAITS DE CARACTÈRE ▷ impulsive - indépendante - entêtée - sociable - spontanée - observatrice - pessimiste - joueuse - maligne - logique - loyale - obstinée - impatiente - égocentrique - intrépide - ingénieuse - rusée - réservée - bonne oratrice - convaincante - manipulatrice - égoïste - dévouée - possessive - juste - jalouse - autoritaire - agressive - étourdie - arrogante - forte - influençable - intéressée - menteuse - solitaire - nerveuse - orgueilleuse - plaintive - sarcastique - attachante - attentionnée - violente - intrépide

❝ détecteur de mensonges❞

quelles sont tes peurs les plus profondes ? ▷

J'ai la prétention d'avouer que je n'ai peur de rien. Je ne crains ni les insectes, ni la foule, ni les ascenseurs. Déjà enfant, j'adorais dormir dans le noir complet, et je n'ai jamais redouté de trouver des monstres sous mon lits. J'ai toujours eu un penchant pour les films d'horreur et le sang, sans jamais connaitre les cauchemars conséquents. Vraie casse coup, je suis une adepte des sports extrêmes. La seule chose que je redoute, c'est d'un jour me faire enterrer vivante.

jusqu'où est tu prêt à te battre pour tes convictions ? ▷

Je suis prête à tout, ça a toujours été dans mon tempérament. Entêté, obstinée même, je ne recule devant rien quand je veux quelque chose. Rien ne vaut ce sentiment d'extase quand on arrive enfin à son but. Rien. C'est pourquoi je suis devenu policière - en plus de la perte de mon père. Pour pouvoir traquer, arrêter. Et aussi pour la baston, car il n'y a rien à dire, j'aime particulièrement cet aspect-là du métier.

comment vois-tu ton avenir ? ▷

Je n'y réfléchis pas vraiment. J'évite, ma vie de se résume pas à grand-chose pour l'instant. Un appartement. Une plante verte à moitié mourante. C'est tout, pas de relation sérieuse, plus de famille. Il y a trois semaines je vous aurais répondu que dans dix ans, je serais surement toujours dans la police. Mais aujourd'hui recrutée dans la NSA, je n'ai absolument aucune idée d'où je vais.

si tu avais connaissance des activités de la division, qu'en penserais-tu ? ▷

En tant qu'agent fédéral, je devrais être contre. Corruption, meurtre, torture, tout ce qu'ils font est mal. Et pourtant, il doit y avoir du bon. J'ai toujours aimé être favorisé ; leur agents sont plutôt bien entretenue, participe à des missions plus dangereuses les unes que les autres. C'est tout ce que j'ai toujours voulu. Je n'ai rien personnellement contre eux, si j'avais un jour la chance d'y rentrer j'y réfléchirais surement à deux fois.

❝ sous la couverture ❞

Moi c'est crying lightnig. bien que je préfère qu'on m'appelle par mon prénom, Léa. J'ai seize ans, je vis près de Paris et je uis actuellement en première ES. Je suis fan de Nikita depuis le début, étant fan de ce genre e série, et plus particulièrement de Birkhoff. Je ship aussi Nikita/Owen (si c'est pas la classe ça ) Autrement, je suis totalement accro à la trilogie des Hunger Games, et de son acteur principal Josh Hutcherson. Si vous tenez à la vie, ne clamez pas qu'il est votre, parce qu'il m'appartient ! *ouut* Je suis aussi fan de HIMYM, Misfits, Skins, Glee, Community et Pushing Daisies. Je passe la plupart de mon temps sur Tumblr, alors n'hésitez pas à me donner le votre, j'ai besoin de personne dans ce fuseaux horaire Si vous avez la moindre question, n'hésitez pas à inonder ma boite de MP, j'y réponrais toujours avec plaisir :pervs:

featuring kate mara
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❝ night set on when i fell down ❞

your soul is hunting me and telling me that everything is fine

Les mains dans les poches, je parcourais DC pour ma ronde habituelle. Tous les jours le même trajet, les même rues, les même boutiques. Quand je m'étais engagée dans la police il y a cinq ans, ce n'était pas exactement ce que j'avais à l'esprit. Marcher dans Washington, en essayant de repérer d'éventuels écarts à la loi. Si j'avais choisis cette voie, c'était pour l'action. L'exaltation d'une arrestation, l'adrénaline qui parcourait les veines lors d'une poursuite. Pas pour se trimbaler dans la ville en uniforme, ou pour mettre des contraventions. Je soufflai bruyamment. Je détestais la routine. J'essayais de varier mes activités, je faisais des pieds et des mains pour pouvoir faire quelque chose d'un peu plus sportif mais chaque fois je me faisais gentiment envoyer balader. Parfois j'hésitais à tout lâcher. Partir loin, à l'autre bout de la planète. Devenir cascadeuse comme je l'avais toujours rêvé. Mais dans ces moments, je me rappelais pourquoi je m'étais engagé. Plus que pour l'action, c’était pour m'assurer que ce que j'avais vécu, personne d'autre n'aurait à le subir. Perdre sa mère, même adoptive, était une épreuve qu'aucune petite fille ne devrait connaître. Depuis aujourd'hui neuf ans, je m'étais juré d'entrer dans la police pour empêcher que quelqu'un d'autre n'ait à revivre ça. Mon père, Blight Hawthorne, un agent important de la CIA, était en mission d’infiltration à l'époque, parmi de puissants trafiquants d'armes. Comme dans toutes batailles, les trafiquants ont cherché la faiblesse de Blight. Et dans le cas présent, ce fut ma mère. Prise en otage, ils l'ont liquidé avant que mon père n'ait pu proposer quoique ce soit. Il n’avait pas été détruit ; c'était l'homme le plus fort que j'ai jamais connu. Non, il ne s'était pas laissé abattre, il s'était vengé. Deux mois plus tard, le réseau avait été démantelé. Je l'avais toujours admiré pour ça, c'était mon exemple. Celui dont je m'étais inspiré tout au long de ma vie. Je m'étais promis d'être aussi forte que lui, et d'aider ceux qui ne l’étaient pas. Si j'étais devenu flic, c'était pour combattre ces trafiquants d'armes là, pas les grand-mères qui oublient de mettre des pièces dans l'horodateur. Mais je savais pertinemment que pour arriver là, il fallait que je passe par les grand-mères.

Je pénétrais dans la gare de DC, le temps que l'averse qui s'abattait sur la ville passe. Je m'adossai à contre un mur, observant les allers et venues sur le quai. Cela n'arrangerais pas l'image de la police ; toujours à ne rien faire, une tasse de café à la main. Même s'il me manquait le café, je ne devais sembler très active. Peut m'importais, je n'étais pas payée pour me balader sous la pluie. Les gens défilaient devant mes yeux, pressés pour la plupart, perdus pour d'autre. Aucun de retint mon attention. Aucun, excepté une jeune femme. Le visage fermé, la tête basse, je ne l'aurais sûrement pas repérée si elle n'était pas si séduisante. Pourtant, plus je m'attardais sur ses traits – parfaits je devais l'avouer – plus je la trouvais suspecte. Son pas las contrastait avec son attitude anxieuse, fuyarde. Je décidais de la suivre, autant par précaution que pour m'occuper. Elle s'arrêta quelque mètre plus loin, et se mit à la queue d'un café. Je me plaçai derrière elle, curieuse comme j'étais, voulant en savoir plus. Je la distinguais plus minutieusement. Un peu plus petite que moi, elle ne paraissait pour autant fragile ; au contraire, elle dégageait une sorte de force, aussi bien par ses expressions que par sa démarche. Alors qu'elle fouillait dans son sac à main, je distinguais quelque chose sur sa cuisse, pendant à sa ceinture. Une arme. Un frisson d'excitation me parcourut. Après tout, ma journée ne serait pas si banale. Je me raclais la gorge pour attirer l'attention de la jeune femme. Elle leva les yeux vers moi, surprise. « Vous êtes au courant qu'il faut un permis pour ce genre d'objet, mademoiselle ? » lâchai-je en pointant le revolver du doigt. Elle relâcha son sac, qui retomba mollement sur sa jambe et me fis face, esquissant un sourire. Je souris à mon tour devant l'adorable mimique de mon interlocutrice. Elle saisit son portefeuille dans sa poche arrière avant de me montrer une petite carte, autorisant la jeune femme à posséder une arme. « Un permis comme celui-ci ? » Elle leva un sourcil, comme pour attendre une réponse. Je pouffai. « Oui, comme celui-là. » Je hochais la tête, pendant qu'elle se retournait pour commander son café. Trépignant sur place, j'hésitais à continuer la conversation. J'avais toujours été comme ça. Ce n’était pas un problème pour moi de draguer une fille sans la connaître, et sans même savoir si j'avais une chance. Dans le second cas, je prenais toujours un malin plaisir à observer la gêne sur le visage de mon interlocutrice. Malgré tout, j’évitais de faire ça durant mon service ; j'étais censé travailler. Mais après tout, elle n'était une dangereuse criminelle. Elle avait un permis.

Alors qu'elle s'apprêtait à payer, je me plaçais à ses côtés. « Mettez en un deuxième s'il vous plait. » Devant le regard surpris de la jeune brune, j'ajoutais. « Je paie. Pour le dérangement. » Mon coin de bouche se releva, déformant la moitié de mon visage. Elle sembla pesa le pour et le contre, puis se résigna. « Va pour un café alors. » dit-elle en s'emparant de son gobelet. « Andy. » Je lui souris, réglant la commande sans vraiment savoir ce que je donnais, le regard plongé dans celui de la jeune femme. « Indianna. »